Ses mains. Ses mains ! Oh mon Dieu, ses mains ! Placées dans ma nuque, ses mains me procuraient des frissons inimaginables. Ces frissons plus qu'agréable débutaient de ma nuque pour descendre le long de ma colonne vertébrale, faisaient un détour par mes hanches et allaient directement vers mon bas-ventre. Je me contrôlais encore assez. Je pouvais donc empêcher les soupirs de plaisir passé le seuil de mes lèvres. Kyra aurait été trop contente de savoir que, placées à cette endroit, ses mains m'excitaient. Doucement, ses magnifiques mains gracieuses descendirent sur mon torse pour tracer du bout de ses bout les contour de mes muscles avant de revenir sur mes épaules. La dangerous hurricane fit glisser ma chemise déjà ouverte le long de mes bras. D'un geste rapide, j'enlevais mes mains bloquées dans les manches. Les mains de Kyra firent un trajet rapide vers mon visage avant de rapprocher le sien du mien. Ses lèvres étaient près, trop près, des miennes. Trop proche pour pouvoir réussir à détacher mon regard de sa bouche, mais trop loin pour l'embrasser comme j'en avais envie.

Kyra Veux-tu savoir quelque chose ?

Non, je ne voulais pas savoir. Je voulais qu'elle se taise pour que je puisse l'embrasser comme j'en rêvais tout les nuits. Ce n'était plus vraiment de mon âge de faire des rêves mouillés. Mais lorsque vous avez une bombe sexuelle qui vient quand l'envie l'en prend dans votre bureau c'est très difficile de gérer ça. Surtout qu'elle ne vient pas forcément lorsque MOI, j'en ai envie. Donc c'est encore plus difficile !
Je passais ma langue sur ma lèvres inférieure devenue rêche à force de respirer pas la bouche. Lentement mais sûrement, les mains de la brune glissèrent dans ma nuque. Sa bouche suivit le même trajet avant de s'arrêter au niveau de mon oreille. Ses dents virent à la rencontre de mon lobe d'oreille. Plusieurs millions de frissons parcoururent mon corps. J'avais de plus en plus envie d'elle.

Kyra Je ne pourrais pas non plus le concevoir …

Je souriais à pleine dents. Un sourire franc. Elle m'avait dit là, la plus belles choses qu'une femme m'ait dîtes depuis la mort de Chelsea. Elle venait de m'avouer qu'elle ne pourrait pas se passer de moi. D'un geste rapide, je l'allongeais sur mon bureau vide de tout objets depuis quelques secondes. Avoir n'importe quel don par un simple touché était vraiment pratique, surtout dans ses moment là.
Je passais mes mains sous son bustier rouge, avant-gout de ce qui m'attendait lorsque je lui enlèverais son haut. Je caressais la peau douce de son ventre en remontant vers ses seins, recouvert par du tissu que je devinais comme de la dentelle. Je fis descendre mes mains et les retira du haut moulant de Kyra. Je glissais mes mains dans son dos, l'obligeant à se cambrer, et d'un habile jeu de doigts, je dégrafais son bustier d'un seul coup. Je pris le tissu et le jeter à travers de la pièce. Sans perdre une seconde, je fis la même chose avec son soutien-gorge, qui finit au même endroit que le bustier qui le recouvrait il y avait à peine quelques instants. Je la recouvrais de baiser. Pas un centimètres de peau avait été épargné. A chaque baiser, mon envie se faisait de plus en plus pressante. J'avais envie d'elle. J'avais envie de Kyra plus que tout au monde. Une troisième guerre mondiale pouvait se déclenchait juste au dessus de l'école, j'en aurais rien eu à f-utre ! Kyra était là, à moitié nue devant moi et je comptais bien en profiter !