Que dire de moi, je ne serais vous le dire, alors autant commencé par le début.
J’ai vu le jour dans ma douce contrée natale, l’Angleterre. Ma mère m’a donné le prénom de Théodore, un nom assez particulier que je porte depuis quelque année déjà.
Que dire de plus, ma ville est clamée comme étant la plus belle du monde, la ville des lumières, Paris. J’ai bien entendu trahis ma bonne vielle Angleterre pour fraterniser avec la Russie avant de m’exiler vers la France. Si le pays de mon enfance me manque énormément, je ne regrette nullement la Russie. Si ces paysages enneigés m’ont charmé me laissant penser à cette neige immaculée qui le restera éternellement, je me suis menti royalement. Si j’étais là, à regarder ces vue incolore ce n’était que pour mieux les souillé de mon sang vermillon.
Ma mère, une femme douce et sage qui adoré prendre le thé en ma compagnie, était d’origine Anglaise. Elle était incroyable, et surement que si elle n’avait pas était décimé par la maladie, j’aurais plus de respect pour le sexe féminin. Mais quelle importance, elle n’est plus de ce monde.
Mon père, un homme bon et droit du moins c’est ce qu’il essaye de faire croire, vient de Russie. C’est ensemble, après la mort de ma mère, qu’on s’y installa.
Vers mes 14 ans, animés par la rage et la détresse que mon père fit naître en moi, je découvris pour la première fois mon don, le charisme. Petit, mes parents avait été complimentés maintes et maintes fois à ce propos leur promettant que je ferais des ravages plus grand. Et ils avaient raison. Rentrant après plusieurs jours d’errance, couvert de bleu et de sang séché dû à la bienveillance de mon paternel, ma vendetta me poussant à agir, je fis l’impardonnable.
Avec une grande dextérité, je séduis sans le moindre problème celle qui avait le rôle de ma belle-mère. Lui adressant seulement un sourire coquin, elle fut mienne toute la nuit avant que mon père nous découvre au petit matin. Si j’ai eu plus de chance, ce ne fut pas le cas pour elle. Ne supportant plus les regards des autres, elle préféra mettre fin à ces jours. Et ce fut la deuxième mort sur ma conscience, les deux femmes qui avait pour but de m’éduquer était morte, et ceux par ma faute. Je n’avais aucune décence en ce qui concerne le sexe faible. Je me l’approprie pendant quelques heures et la rejette juste après. Et elle me déteste pour cela, mais aucune importance elles ne peuvent pas y résister. Tout en moi laissé penser à la luxure, un simple chuchotement provoque en elle des plaisirs insoupçonnés, leur laissant la voix suave et le souffle saccadé. Quand mais mains les caresses, elle en redemande laissant de côté toute pensée juste et conscience. Je joue avec leur vie, leur existence. Les manipulant une à une, j’arrive à en faire ce que je veux, une marionnette rien de plus.
Fuyant la Russie, renié par mon père, je m’exilai en France à Paris. Là-bas je fus accueillie par mes grands-parents que je n’avais pas vus depuis des années. Au moins avec eux, j’essayai d’avoir une vie des plus normales même si je m’abandonnais à la débauche. Jusqu’au jour où je su que j’avais ma place à Underground.